Comment préserver les vieilles forêts tropicales avec la compensation carbone ?

Planter des arbres pour compenser le carbone ! Telle est la nouvelle injonction de l’humanité pour séquestrer le carbone que nous avons libéré dans l’atmosphère. Les offres de plantations ne manquent plus ! Effet de mode ? Greenwashing ? Une frénésie semble envahir les particuliers, les entreprises et les collectivités pour « piéger » le carbone que nous émettons avec des équivalences végétales. Au lieu de diminuer à la source leurs émissions de CO2 pour limiter l’effet de serre et donc le réchauffement climatique, la plupart des acteurs se contentent de les compenser en constituant des stocks de carbone via la plantation d’arbres. En effet, les ingénieurs forestiers considèrent que 20 à 50 kg de CO2 est absorbés par arbre et par année. Mais, pour Univet Nature, planter des arbres n’est pas suffisant pour préserver la biodiversité. Univet nature soutient des projets qui visent à préserver la biodiversité des forêts primaires.

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Univet Nature opérateur de la compensation carbone volontaire

Univet nature opérateur de la compensation carbone volontaire
Comment cela fonctionne-t-il ? Dans le cas de figure le plus commun, l’acheteur de compensation carbone s’adresse à Univet nature auprès duquel il acquiert un nombre d’unités «carbone » correspondant au volume des émissions de gaz à effet de serre qu’il souhaite compenser. La somme versée à cette fin contribue, directement ou indirectement, au financement d’un projet spécifique de réduction des émissions ou de séquestration de carbone. Un crédit carbone correspond classiquement à 1 tonne équivalent de CO2 évitée par le projet. Univet Nature mobilise alors ces fonds pour des opérations forestières en zone tropicale qui visent à :

  1. Sanctuariser des espaces forestiers encore intacts,
  2. Restaurer des forêts dégradées,
  3. Protéger les forêts des coupes illégales.
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